Dans plusieurs provinces, le Collège des médecins a établi ou examine la possibilité d'établir une politique qui obligerait les médecins à révéler des réactions adverses et des erreurs qui se produisent au cours des soins donnés à un malade.

Le Conseil s'est demandé si cela était nécessaire et a conclu que ce ne l'était pas. Selon le Conseil, les médecins ont déjà cette obligation. Autrement dit, un patient a le droit de recevoir tous les renseignements concernant les soins qu'on lui donne, y compris les réactions adverses. De plus, selon le Conseil, il serait de mauvaise grâce que d'autres parties se mêlent de cette obligation. De l'avis du Conseil, ce serait dans l'intérêt de tous les intéressés d'exposer les réactions adverses d'une manière complète et franche au patient et à sa famille aussitôt que possible.

11/02